En suivant le profil d’une vieille armoire - comme un relique elle trône dans la maison - le cuivre a été découpé et sa gravure transposée dans une dimension onirique. Les deux battants sont ouverts au regard. Abandonnez-vous à un voyage imaginaire et découvrez que cette maison que l’on entrevoit parmi les arbres est bien réelle. Les feuilles de papier qui voltigent dans l’air nous laissent penser que l’habitant n’est pas loin et qu’il communique avec vous. La réalité se confond avec le rêve. Le tracé à l’eau-forte permet de mettre en valeur les différentes profondeurs, accentuées par une porte centrale où convergent notre œil et toutes les lignes directrices.
1999 | Eau-forte/pointe-sèche
Cuivre découpé : environ 365 mm x 400 mm + 4 petits morceaux (base x hauteur)
Eau-forte/pointe-sèche sur papier Hahnemühle, encre noire Luxe Charbonnel, dimension feuille : 500 x 700 mm, imprimé par l’auteur.